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Recherche par lecteur : Hélène Mossler-Lenot

24 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:1h. 54min.
Genre littéraire:Roman d'amour
Numéro du livre:24427
Résumé: C’est l’histoire d’un homme qui va rechercher dans l’écriture la jeune femme qu’il a perdue dans la vie. Ava, rencontrée alors qu’ils avaient vingt ans. Ava, qui fut l’amour, l’amie, l’âme sœur. Ava, qui s’est éteinte alors qu’elle brûlait de vie. Et c’est bien la vie qui brûle dans ce roman. Étincelles de grâce, d’innocence, de violence aussi. Pendant toutes ces années, on dirait que ces enfants terribles se découvrent à chaque page. Quand ils se séparent à trente ans, c’est pour mieux se retrouver : d’amants, ils deviennent frère et sœur. Un autre miracle de l’amour. Un autre mystère aussi, puisque s’ils ne se sont jamais quittés, ils n’ont jamais vraiment pu vivre ensemble. Libres comme l’air, les deux complices auront joué avec le temps sans penser qu’il pourrait les blesser, ni se douter que la mort pourrait les séparer. Ce roman d’une beauté fière et recueillie tue le temps et regarde la mort dans les yeux pour ciseler un magnifique portrait de femme entre ciel et terre. Une femme dans sa vérité, ses lumières, ses ombres aussi. Secrète et solaire comme la poésie. Et dont la présence brille ici d’émotion et de grandeur. Les aimants revient sur les pas d’un amour et rejoint l’éternité, parce que c’était elle, parce que c’était lui.
Durée:16min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:23985
Résumé: D. Daeninckx retrace la vie de Missak Manouchian (1906-1944). Arménien réfugié à la suite du génocide, il vit à Marseille, et devient un héros de la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Les nazis mettent son nom en haut de l'Affiche rouge, parmi ses compagnons issus de l'immigration. Arrêté, torturé et exécuté, il laisse une lettre à sa femme, reprise par Aragon et chantée par L. Ferré. [source Electre]
Durée:7h. 29min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:25430
Résumé: A l'heure où l'on redécouvre la grande figure du Père de Montcheuil, jésuite et théologien qui annonce déjà la réflexion du concile de Vatican II, né en 1900 et fusillé en 1944 pour ses liens avec la résistance dans le Vercors, cette nouvelle édition des Problèmes de vie spirituelle n'a pas seulement valeur historique. Elle permet de mieux saisir l'importance d'une pensée qui est aussi un témoignage spirituel. Nourrie de la spiritualité ignatienne, invitation à vivre en liberté le choix de la foi, la démarche du Père de Montcheuil n'a pas pris une ride. Elle témoigne de ce christianisme d'incarnation qui manque tant à notre époque. Comme l'écrivait l'auteur : " Jésus-Christ est bien apparu à ses contemporains comme l'un d'entre eux, et, à nous si profondément marqués comme lui par notre temps et notre peuple, il apparaît non malgré cela mais à cause de cela même, comme un homme véritable. Il n'est pas un étranger dans notre histoire. "
Durée:5h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:29375
Résumé: Qui se souvient de cette folle ambition : le cinéma va changer le monde ? Démiurges au centre de l'intrigue, un trio de meilleurs amis qui vont devenir les beaux-frères ennemis : Jean-Pierre Rassam, Claude Berri, Maurice Pialat. La soeur du premier, Anne-Marie, épouse le deuxième, dont la soeur, Arlette, vit avec le troisième. Ils ne vieilliront pas ensemble. Autour d'eux, Christophe Donner fait tourner la ronde non autorisée des seventies : Raoul Lévy, Brigitte Bardot, Jean Yanne, Macha Méril, Jean-Louis Trintignant, Eric Rohmer, Sami Frey...La grande histoire crève le grand écran : Mai 68 terrorisant le festival de Cannes ; Rassam et Berri à bord de la Mercedes de Truffaut allant sauver les enfants de Milos Forman dans une Prague envahie par les chars soviétiques ; l'improbable épopée de Godard dans les camps d'entraînement palestiniens. Et puis, gueule de bois : après la grande bouffe des utopies, tous y en ont vouloir des sous ! Cinéastes grandioses, producteurs têtes brûlées, alcool à haute dose, parties de poker, de sexe et de drogue : des vies qui sont des films, des films qui mettent la vie en danger. Car on se tue beaucoup en ce temps-là, quand on joue encore vraiment sa peau avec l'art. Orson Welles peut lâcher sa malédiction ironique : «Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive.»